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Une belle histoire, de Brullioles à Saint-Michel-des-Saints

Une belle histoire, de Brullioles à Saint-Michel-des-Saints

Chez Classe Affaires, nous aimons garder le contact avec les clients que nous accompagnons. À cet effet, nous avons créé le Club Classe Affaires.

Sachant Alexandra et Georges arrivés au Québec début juin, nous avons pris de leurs nouvelles. Cet article pour partager leur histoire et mettre en avant le témoignage d’Alexandra.

Nous sommes ravis et fiers que notre accompagnement et celui de nos partenaires les aient conduits à trouver une telle plénitude.

Installés dans la région de Lanaudière, leur vie prend forme entre travail, nature grandiose, faune sauvage et activités de plein air, tous les incontournables du Québec !

Une histoire simple

Alexandra, massothérapeute à son compte, en France dans la région lyonnaise discute avec une amie consœur, récemment installée au Québec avec son mari, chef d’entreprise, et ses cinq enfants . Elle aussi rêve d’une nouvelle vie avec sa famille au Québec. Son amie lui conseille les services de Classe Affaires qui les a accompagnés dans leur installation dans la belle Ville de Québec.

Objectiver son projet

Avoir le projet de s’installer au Canada, c’est bien mais comment faire ?

Après une bonne discussion avec Alexandra et Georges, nous convenons de leur proposer un mandat de qualification qui leur permettra d’objectiver leur projet et d’identifier une stratégie d’immigration.

Leur motivation est entière. Ils veulent s’installer au Québec pour son cadre de vie, ses grands espaces, sa culture bienveillante, son système de valeurs dans l’éducation des enfants.

La première question est d’identifier quelles sont leurs compétences et leur expérience professionnelle à mettre en valeur face aux attentes du marché de l’emploi québécois. Lequel des conjoints aura le plus de facilité à trouver un emploi rapidement et dans lequel cas, pourra-t-il suffire aux besoins de toute la famille ?

Travailler au Québec

Nathalie Perreault, Fondatrice NPCRH

Nous leur présentons Nathalie, notre expert en RH. La réussite de leur projet vient en très grande partie des conseils, du suivi et de l’accompagnement de ce partenaire. Nathalie a accompagné Georges et Alexandra dans leur mise en marché, leur a appris à mettre en valeur leurs compétences et réalisations, à négocier avec des employeurs potentiels, à savoir où chercher du travail.

 

Autre point essentiel dans le projet : le lieu même de l’installation. Métropole, grande ou moyenne ville, banlieue, localité régionale, région éloignée ou proche d’une cité ?

Rien de tel qu’un voyage exploratoire pour découvrir les différences de lieux de vie et pouvoir davantage se projeter dans un nouveau cadre. Quel qu’il soit, il sera forcément inhabituel de ce qu’ils auront connu en France. Tout est différent : les paysages, l’architecture, les habitudes de vie et de consommation, les rapports à la nature, à l’argent, au travail. Et en même temps, si pareil puisqu’on partage la même langue et que la communication est évidemment facilitée.

Si le projet d’Alexandra et Georges était de se rapprocher de leurs amis à Québec, c’est évidemment l’emploi trouvé par Alexandra qui aura été déterminant.

Atterrissage dans Lanaudière

Alexandra détient de réelles compétences : psychopraticienne-psychanaliste, sophrologue, massothérapeute. Son expérience professionnelle s’avère totalement compatible avec les besoins du marché québécois. Les compétences de Georges, policier municipal en France, sont plus difficilement transférables à l’étranger. Mais sa formation en droit à l’urbanisme lui ouvre d’autres portes.

Alexandra et Georges effectuent un travail de fond avec Nathalie pour rédiger leur CV « à la façon québécoise ». Alexandra propose ses services à plusieurs employeurs dans différentes régions québécoises.

Auberge du Lac-Taureau, Lanaudière

Après plusieurs entretiens, l’Auberge du Lac-Taureau, magnifique établissement hôtelier en plein nature doté d’une solide réputation, retient l’offre d’Alexandra et lui propose un poste à temps plein dans les meilleurs délais. La pénurie de main d’œuvre est forte dans ce domaine, notamment dans cette région, très convoitée par les touristes.

 

L’Auberge engage la procédure de recrutement à l’international, profitant du programme Jeune Professionnel puisqu’Alexandra a moins de 35 ans.

 

Dès lors, les choses s’accélèrent et Alexandra a finalement peu de temps pour se préparer à quitter la France. Mais leur motivation est si forte que la famille s’organise pour qu’Alexandra puisse honorer l’offre d’emploi dans les temps voulus. Elle arrive au Québec début juin et prend poste immédiatement.

La belle histoire de Georges, Alexandra et leurs enfants

Nous lui avons donc demandé comment s’était passée son installation. Sa réponse nous ravit.

Alexandra, Edgar et Georges en kayak

J’ai pris la direction du centre de santé de l’Auberge du Lac Taureau depuis le 15 juin maintenant (et au vu du nombre d’heures que je fais, c’est comme si j’y étais depuis 6 mois !).  Je découvre la méthode de travail à la québécoise avec ses mœurs et son vocabulaire parfois déroutant. Mais je peux me targuer maintenant de presque tout comprendre en réunion codir !

Même si les journées sont chargées, nous profitons de notre environnement exceptionnel dès que nous pouvons. Nos repos sont faits de longues randonnées dans les monts environnants et les érablières, avec des vues à couper le souffle sur les nombreux lacs de la région. Dès que je peux, je saute dans le kayak seule ou en famille et nous passons nos soirées autour d’un feu dans le foyer dans le jardin. Nous avons vraiment adopté le style de vie d’icitte, dehors, en lien avec la nature.

Georges commence à travailler le 13 août prochain pour la mairie de la commune d’à côté comme urbaniste. Pour ceux qui veulent travailler, il y a vraiment du travail. Et l’accueil qui nous a été réservé par les gens a été extrêmement bienveillant et chaleureux.

Nous avons opté pour une location d’un chalet dans les bois, et avons la chance de voir nos biches, écureuils et autres plumeux et poilus chaque jour pour notre plus grand bonheur. Nous ne sommes quasiment plus jamais sur nos téléphones/ordinateur/télé.

Mon petit de 3 ans a découvert le service de garde en milieu familial et je reste émerveillée de la différence avec la France ; pratico pratique : pas de papiers de déclaration mensuelle, pas de prise de tête chaque mois avec les organismes, les déclarations, etc., elle s’occupe de tout. Et elle fait tellement de choses avec les enfants ! Dès que le temps le permet, ils sont dehors, à jouer avec l’eau, la petite piscine ou tout ce qu’ils veulent ! Edgar a été souriant et épanoui après seulement trois jours d’adaptation.

Le grand de 10 ans arrive sur le territoire lundi prochain.  Je suis dans les démarches pour son inscription à l’école mais la commission scolaire est fermée jusqu’au 2 août. Notre premier contact début juin avait déjà été très rassurant : encore une fois nous avons été accueillis, écoutés, aidés dans nos premières démarches.

Aujourd’hui, nous n’avons strictement aucun regret de notre choix d’avoir quitté la France, encore moins d’avoir choisi finalement ce coin de Lanaudière, bien plus heureux au milieu de la forêt que proche du béton et des immeubles. Pour rien au monde nous ne ferions marche arrière et nous réfléchissons déjà aux démarches de RP pour savoir à quel moment les mettre en route et surtout rester là où nous sommes actuellement.

Nous avons très vite compris le fonctionnement des courses également. Ici, le Cotsco est à 1 heure 40 de route. J’apprends à faire mon épicerie pour un mois, à ranger le congélateur et à acheter des paquets de petits pois par 8 boites ! Une fois la surprise passée, quel bonheur de savoir qu’on n’aura pas de courses à faire pendant un mois, juste à piocher dans les placards et le frais et profiter des repos pour faire autre chose !

Je n’avais pas de doute sur notre capacité à nous adapter mais je ne pensais pas que nous le ferions aussi rapidement.

Je vais d’ailleurs vous laisser parce que ma chaise à bascule m’attend devant le foyer préparé par mon chum de Charles Ingalls à moi !

Le Canada comme projet ?

Et vous, quelles sont vos motivations pour vous installer au Canada et rejoindre le Club Classe Affaires : travailler, entreprendre, investir?

La réussite passe par votre motivation, votre détermination, votre préparation et un accompagnement personnalisé et sincère.