X

Vous souhaitez rester informé sur le sujet ?
Inscrivez-vous à notre infolettre :

← Retour au blog

Investir dans l’immobilier au Québec

Investir dans l’immobilier au Québec

Après Vancouver puis Toronto, le Québec devient le « nouvel eldorado canadien » de l’investissement immobilier. En effet, la ville de Montréal et le reste de la province attirent de nombreux Européens et asiatiques. Ils viennent s’installer en tant que nouveaux arrivants, pour leurs enfants qui viennent étudier ou pour diversifier leur patrimoine. Investir dans l’immobilier est une valeur sûre.

L’attractivité du marché immobilier québécois

Avec des prix beaucoup moins élevés que dans les autres provinces canadiennes, le Québec se montre toujours très attractif. Les prix à Toronto et à Vancouver sont trois fois plus chers qu’à Montréal. Les prix ont ces dernières années décuplé dans ces villes, en raison notamment d’une forte présence d’investisseurs asiatiques.

L’économie québécoise, très robuste, est venue renforcer la confiance des consommateurs québécois mais aussi l’engouement des investisseurs étrangers pour le Québec. Grâce à la croissance économique de cette dernière décennie, le marché immobilier quant à lui fait toujours preuve d’une exceptionnelle stabilité. Montréal, métropole économique de la province, est la première à en tirer les bénéfices sur tous les plans, y compris celui de la démographie.

Montréal et sa grande région comptent plus de 4 millions d’habitants, ce qui en fait la deuxième ville francophone du monde. La qualité de ses onze universités lui vaut d’être primée meilleure ville universitaire au monde. Et n’oublions pas non plus que les universités québécoises affichent les coûts universitaires les moins chers de l’Amérique du Nord !

On comprend ainsi aisément l’engouement des jeunes Français à poursuivre leurs études au Québec.

Et, si le taux de change est particulièrement favorable aux Européens, reconnaissons aussi que le fait francophone du Québec augmente aussi cette attractivité pour les Européens francophones.

Investir dans l’immobilier

Investir dans l'immobilier
Le QG à Québec

Investir dans l’immobilier parce que l’on est nouvel arrivant ou simplement pour installer son enfant qui vient étudier ou encore pour diversifier son patrimoine immobilier, les raisons sont diverses. Quoi qu’il en soit, les principales villes québécoises prouvent encore leur potentiel.

Selon les plus récentes statistiques du marché immobilier résidentiel  publiées par l’APCIQ (Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec), les transactions sont en hausse, et les prix aussi notamment à Montréal.

A Québec comme à Montréal et dans plusieurs autres villes québécoises, la vigueur du marché immobilier est toujours bien présente et ce, toutes catégories de propriétés résidentielles confondues.

Les biais culturels de l’immobilier

Il serait aisé de se lancer devant cette manne. Nous conseillons pourtant de bien se renseigner avant toute transaction.

Au-delà de l’incontournable voyage exploratoire pour trouver le bien et comprendre le marché, il faut apprendre le vocabulaire de l’immobilier résidentiel mais aussi les façons de faire et appréhender les différentes taxes  liées.

Les transactions ne prennent pas de temps et devant le peu d’offres, l’acheteur doit réagir très vite.

Nos partenaires de l’immobilier sauront vous accompagner et vous expliquer le marché. 

En résumé, voici les principaux éléments à savoir.

Les transactions immobilières se réalisent via un courtier en immobilier. Celui-ci  défendra les intérêts de l’acheteur  face au vendeur.

C’est toujours le vendeur qui paie les frais de transaction. Les représentants  respectifs de l’acheteur et du vendeur se partagent la commission.

Les honoraires du notaire n’ont pas de commune mesure avec celles pratiquées en France. Les montants peuvent varier d’une région à une autre et en fonction de la complexité du dossier. Elles varient généralement entre 1000 et 1500 dollars canadiens.

A ces frais, viendront s’ajouter la taxe de Bienvenue (droits de mutations immobilières), laquelle correspond à environ 2% du montant du bien. Enfin, pour l’équivalent de ce que nous appelons en France les impôts locaux, il faudra ajouter les taxes scolaire et municipale, lesquelles sont de l’ordre de 1 à 1,2% du bien.

L’immobilier en québécois

Investir dans l'immobilier
Plex

Condo : contraction du mot condominium qui désigne un logement collectif

Unifamiliale : maison individuelle.

Plex : immeuble de rapport. Ainsi un « duplex » est un immeuble avec deux appartements ; un « triplex » compte 3 lots, etc.

3 ½ : ce chiffre signifie que l’habitation compte une chambre (soit un deux-pièces pour la France).

Les deux premières unités comptabilisent le séjour et la cuisine. La 3ème unité compte la chambre. Et le ½ équivaut à la salle de bains. Donc un 4 ½ est un logement de 2 chambres, un 5 ½ est un 3 chambres…

 

En savoir plus avec notre partenaire HP : video Youtube

Références : https://apciq.ca/